Au-delà des frontières : Comment améliorer l'expérience des étudiant.e.s internationaux.ales

Aujourd'hui, les universités cherchent à améliorer l'employabilité de tou.te.s leurs diplômé.e.s (y compris les étudiant.e.s internationaux.ales) en facilitant l'intégration de la théorie à l'expérience pratique et en formant les étudiant.e.s.

Pour ce faire, les établissements d'enseignement supérieur mettent l'accent sur l'amélioration de leur offre. Mais les étudiants internationaux, bien que désireux d'embrasser de nouveaux horizons académiques, se heurtent souvent à des difficultés allant de l'adaptation culturelle aux obstacles liés à l'obtention d'un visa.

Dans cet article, nous examinerons les défis auxquels sont confrontés les étudiants étrangers, nous éclairerons leur parcours et nous explorerons les stratégies de transformation que les universités peuvent mettre en œuvre pour combler le fossé et faire en sorte que chaque étudiant, quelle que soit son origine, reçoive une éducation véritablement équitable, diversifiée et enrichissante.

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Les implications plus larges des possibilités d'emploi limitées

Pour les étudiants étrangers, les possibilités d'emploi limitées ne sont pas seulement des obstacles immédiats ; elles peuvent avoir des répercussions à long terme sur leur progression de carrière. 

Il ne s'agit pas seulement d'une absence de tâches ou de rôles, mais aussi d'une absence d'expériences professionnelles authentiques et concrètes qui permettent de transformer la théorie en compétences utilisables. Et comme quatre étudiants étrangers sur dix souhaitent rester aux États-Unis après l'obtention de leur diplôme pour y travailler pendant quelques années, ces expériences sont cruciales. 

En fait, 34 % des étudiants étrangers estiment qu'ils ne sont pas préparés à explorer une carrière aux États-Unis parce qu'il est difficile de trouver un emploi ou un stage, et qu'il n'y a guère d'aide pour savoir comment obtenir un CPT, un OPT ou d'autres visas de travail.

Cet écart peut être encore plus prononcé lorsque ces étudiants se retrouvent en concurrence avec des pairs qui ont eu l'avantage de combiner leur parcours académique avec des connaissances professionnelles pratiques. 

Les employeur.euse.s privilégient souvent les diplômé.e.s "prêt.e.s à travailler", c'est-à-dire ceux et celles qui apportent non seulement des connaissances, mais aussi une compréhension nuancée de la dynamique du secteur, du travail d'équipe et de la résolution de problèmes concrets. 

Sans cette expérience pratique, les étudiant.e.s étranger.ère.s peuvent sembler moins compétitif.ve.s, malgré leur potentiel. De plus, il a été rapporté que les diplômé.e.s qui commencent par être sous-employé.e.s le resteront pendant la majeure partie de leur carrière.

En outre, chaque emploi ou stage est une porte ouverte à l'élargissement de son réseau professionnel. Moins d'expériences professionnelles signifie moins de contacts dans l'industrie, ce qui peut s'avérer inestimable pour naviguer sur le marché concurrentiel de l'emploi après l'obtention du diplôme.

En outre, les rencontres répétées avec de tels obstacles peuvent éroder la confiance des étudiants étrangers. Ils peuvent commencer à remettre en question leurs propres capacités ou leur sentiment d'appartenance, non pas en raison d'une déficience réelle de leur part, mais à cause des possibilités limitées qu'ils ont eues de démontrer et d'affiner leurs talents.

En fait, si l'obstacle initial peut sembler n'être qu'un manque d'opportunités de travail, l'effet en cascade de cette limitation peut redéfinir et limiter les trajectoires de carrière des étudiants étrangers. 

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Comprendre le parcours de l'étudiant.e international.e

Lorsque les étudiant.e.s étranger.ère.s arrivent sur le campus, il.elle.s ont les mêmes aspirations que leurs homologues nationaux.ales : participer à des expériences d'apprentissage diverses et enrichissantes. Il.Elle.s envisagent un voyage riche en nouvelles amitiés, en progression académique, en échanges culturels, en acquisition de compétences et en possibilités d'exploration de carrières qui façonneront leur avenir. 

Toutefois, ces étudiants savent que leur parcours, bien que riche en opportunités, présente également un ensemble unique de défis. En voici quelques-uns :

• Adaptation culturelle : Au-delà de l'adaptation à un nouvel environnement académique, ils doivent s'adapter à un nouvel environnement culturel. Il s'agit notamment de comprendre les coutumes locales, les traditions et les nuances de la communication quotidienne qui ne leur sont pas familières et qui sont pourtant naturelles pour leurs pairs.
• Adaptation à l'éducation : Les méthodes d'enseignement, les techniques d'évaluation et même la dynamique des classes peuvent être très différentes de ce qu'ils ont connu dans leur pays d'origine. 
• Obstacles logistiques : Les restrictions imposées par les réglementations en matière de visa constituent peut-être le problème le plus pressant. Alors que leurs homologues nationaux sont libres d'explorer les possibilités de travail et de stages rémunérés, les étudiants étrangers voient souvent leurs options limitées en raison des restrictions imposées par les visas. Cela peut les priver d'expériences professionnelles authentiques et concrètes qui leur permettraient d'acquérir des compétences, d'améliorer leur employabilité et de se constituer un réseau professionnel dans le pays. 
• Les défis de la mise en réseau : Construire un réseau local à partir de zéro, dans un pays où il.elle.s n'ont peut-être aucun contact préalable, peut s'avérer une tâche ardue. Leurs homologues nationaux peuvent avoir déjà établi des relations professionnelles, que ce soit par le biais de la famille, d'emplois occupés, de bénévolat ou d'ancien.ne.s étudiant.e.s.

La reconnaissance de ce parcours distinct des étudiants étrangers est la première étape pour les établissements afin de s'assurer qu'ils offrent une expérience équitable, diversifiée et enrichissante à chaque étudiant, quel que soit son milieu d'origine.

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Stratégies de transformation pour une expérience internationale des étudiants de classe mondiale

Pendant des décennies, les États-Unis ont été le premier choix en matière d'enseignement supérieur, mais le paysage universitaire est en train de changer. Aujourd'hui, le nombre d'étudiants internationaux qui étudient en Australie, au Canada et au Royaume-Uni est 50 % plus élevé qu'aux États-Unis. 

Ces universités innovantes adoptent différentes stratégies pour les aider à recruter et à retenir les étudiants étrangers. Voici quelques-unes des stratégies que vous pouvez adopter pour aider les étudiants étrangers à réussir sur le plan académique, personnel et professionnel.
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1. Combler le fossé entre le monde réel et l'apprentissage par l'expérience

Les étudiants étrangers ont toujours besoin d'un accès au développement des compétences et d'une aide à la préparation du travail. Il est donc important que les établissements trouvent d'autres moyens d'offrir une expérience professionnelle de niveau international. C'est ce que permet l'apprentissage par l'expérience. 

Il offre un moyen de relier l'apprentissage en classe à des scénarios tangibles dans le monde réel. Des plateformes comme Riipen sont à l'avant-garde de ce mouvement, permettant aux étudiant.e.s d'entreprendre des projets authentiques avec des partenaires de l'industrie qui ont le potentiel de leur donner un véritable goût de la vie professionnelle tout en restant dans l'environnement universitaire.
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2. Créer des campus inclusifs qui valorisent réellement la diversité

Dans un monde plus connecté que jamais, il est essentiel que les établissements favorisent une atmosphère où les étudiants internationaux ont un fort sentiment d'appartenance et se sentent tout aussi intégrés que leurs homologues nationaux. 

Les étudiants étrangers sont confrontés à de nombreux défis qui peuvent entraîner un sentiment d'exclusion ou, pire, d'isolement par rapport à leurs pairs. Il ne s'agit pas seulement d'expériences tangibles qui leur échappent, mais aussi des relations locales inestimables, du mentorat et de la camaraderie qui en découlent souvent.

Des plateformes comme Riipen offrent une solution. Ces plateformes d'apprentissage par le travail se sont avérées essentielles pour éliminer les obstacles auxquels se heurtent les étudiant.e.s étranger.ère.s. En facilitant la collaboration à des projets concrets avec des partenaires de l'industrie, elles permettent aux étudiant.e.s d'accéder à des expériences professionnelles tangibles et constituent une passerelle vers la création de réseaux professionnels locaux et nationaux. 

Cela contribue à son tour à favoriser un véritable sentiment d'appartenance, en veillant à ce que les étudiants internationaux soient parfaitement intégrés dans le tissu de la communauté du campus.
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3. Tirer parti de la technologie pour une connectivité mondiale

Historiquement, de nombreux établissements d'enseignement supérieur ont été rattachés à des réseaux locaux, limités par la géographie et les connexions conventionnelles. Toutefois, les progrès technologiques ont ouvert les portes d'un vaste réseau international couvrant diverses industries et régions. 

En s'appuyant sur des plateformes technologiques telles que Riipen, les établissements d'enseignement supérieur et les universités peuvent promettre une expérience éducative véritablement mondiale et offrir à tous les apprenants un accès équitable à des offres de cours riches et diversifiées et à des expériences d'apprentissage par l'expérience.
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4. Assurer un soutien et une adaptabilité continus

La transition vers une nouvelle culture universitaire, à des kilomètres de chez soi, n'est pas une mince affaire. Les universités qui accordent la priorité à des systèmes de soutien dédiés aux étudiants étrangers garantissent des transitions plus harmonieuses. Qu'il s'agisse de programmes de mentorat ou de services consultatifs dédiés aux étudiants internationaux, une structure de soutien cohérente garantit que ces étudiants ne sont jamais seuls à relever les défis qui se présentent à eux.

En s'adaptant et en répondant aux défis uniques auxquels ces étudiants sont confrontés, les établissements peuvent véritablement les faire se sentir chez eux, améliorant ainsi leur expérience globale et leur réussite universitaire.
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5. Promouvoir des possibilités équitables de développement des compétences

Il s'agit d'un défi bien documenté : de nombreux étudiants internationaux sont confrontés à des restrictions de visa de travail, ce qui les empêche d'acquérir une expérience pratique. Toutefois, grâce à des plateformes telles que Riipen, illustrées par des réussites telles que le cas d'utilisation de l'UC Riverside, l'espoir renaît. 

Ces plateformes offrent des expériences basées sur des projets, permettant aux étudiant.e.s internationaux.ales de travailler avec des partenaires de l'industrie sur des projets authentiques, en contournant les restrictions de travail traditionnelles et en garantissant une plateforme équitable pour le développement des compétences.

Pour un examen plus approfondi de ces programmes en action, ne manquez pas de consulter cette étude de cas.

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Rejoignez le mouvement en faveur d'un apprentissage équitable

Les étudiants étrangers apportent une richesse d'expériences, de connaissances culturelles et de perspectives diverses, ce qui en fait des atouts inestimables pour tout établissement. Cependant, sans les ressources et le soutien appropriés, ces étudiants peuvent se heurter à des obstacles inutiles qui étouffent leur potentiel.

Les institutions du monde entier reconnaissent le pouvoir de plateformes telles que Riipen pour combler le fossé entre l'apprentissage académique et l'expérience du monde réel, en particulier pour les étudiants internationaux qui peuvent être désavantagés par les restrictions de visa.

Par exemple, les écoles de commerce et de technologies de l'information et de la communication de l'école polytechnique de Saskatchewan utilisent largement Riipen pour offrir aux étudiants des possibilités d'apprentissage intégré au travail (AIT). 

Kristen Craig, éducatrice au sein de l'établissement, a déclaré : "C'est particulièrement important pour nos étudiants étrangers qui, souvent, n'ont pas d'expérience professionnelle au Canada ou de relations avec l'industrie. Les expériences d'AIT offertes par Riipen ont enrichi l'expérience d'apprentissage de nos étudiants."

En outre, Lisa Miller, directrice des programmes internationaux et professionnels à l'université de Californie, a pu élargir les possibilités d'apprentissage par le travail de son établissement et mettre les étudiants internationaux sur un pied d'égalité grâce à la plateforme de Riipen. 

Avec un accès à plus de 31 000 partenaires de l'industrie dans le monde entier, Riipen permet aux éducateur.trice.s d'enrichir leurs cours avec des expériences authentiques auxquelles tou.te.s les étudiant.e.s ont accès.

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