12 juillet 2018 -- Hannah DeplaedtSFU Beedie Business Graduate -- Pendant l'été 2017, ma quatrième année à l'université Simon Fraser, je me suis inscrit au cours de gestion interculturelle, un cours qui aide les étudiant.e.s à comprendre les différences entre les activités commerciales des différents pays. Dans le but de fournir aux étudiant.e.s des expériences réelles, notre professeur a décidé de s'associer à Riipen. Grâce à ce partenariat, les trois groupes d'étudiant.e.s de notre classe ont été mis.e.s en relation avec des entreprises de Vancouver et ont été chargés d'appliquer les concepts du cours dans le but d'aider les entreprises à prendre des mesures en vue de leur expansion internationale. Riipen était l'une des entreprises participantes et lorsque nous avons reçu les informations sur l'entreprise et les lignes directrices de notre projet, j'ai immédiatement été attirée par Riipen. En tant qu'étudiante en gestion des ressources humaines, intéressée à poursuivre une carrière universitaire, je suis un grand défenseur de l'expérience professionnelle et je crois que ce sont les expériences uniques de la vie réelle qui distinguent les étudiant.e.s. À ce titre, j'ai été intriguée par les objectifs de Riipen et les possibilités qu'ils offrent aux étudiant.e.s, en particulier à ceux qui ne peuvent pas participer à un programme de coopération ou à un stage - la vérité est que tous les étudiant.e.s en commerce ne sortent pas de l'université avec une expérience professionnelle applicable. Riipen peut aider à résoudre ce problème en jumelant des groupes d'étudiant.e.s avec des entreprises qui travaillent à résoudre de véritables défis commerciaux, tout en ayant l'occasion d'entrer en contact avec des professionnels du monde des affaires et de bénéficier d'un mentorat.
Pour ce projet particulier, mon groupe était en relation avec Emilie Holub, qui travaillait à l'époque comme responsable des relations universitaires au bureau de Riipen à Vancouver. Après en avoir appris plus sur Riipen, une entreprise dont la mission est de combler le fossé entre l'école et le travail par des projets d'apprentissage intégrés, nous avons reçu pour instruction de fournir des recommandations sur les facteurs de réussite d'une prochaine expansion. Avec des projets d'expansion sur le marché australien, Riipen, et plus particulièrement Emilie, recherchait des informations susceptibles de contribuer à leur succès. Après un certain nombre de réunions par vidéo, ainsi que des sessions pratiques en personne avec Emilie, les membres de mon groupe et moi-même nous sommes mis au travail pour rechercher et apprendre le plus possible sur ce nouveau marché. Nous avons terminé le semestre par un rapport et une présentation orale à un certain nombre d'employé.e.s de Riipen. Ensuite, nous avons reçu un retour d'information direct d'Emilie et, finalement, un retour d'information de l'industrie qui a été renvoyé à notre professeur par le biais de la plateforme Riipen. En tant qu'étudiante qui s'est distinguée lors de mes interactions avec Emilie, j'ai eu la chance d'être placée dans le vivier de talents de Riipen, ce qui leur a permis de suivre mes progrès tout au long de mon cursus et d'enregistrer tous les autres projets auxquels j'ai participé. Je crois que ce projet m'a donné une grande idée de ce qu'est la présentation dans un cadre de travail et m'a permis d'avoir un aperçu de ce que ce serait de travailler à Riipen, une opportunité que je n'aurais pas eue sans le partenariat de la SFU avec Riipen. Je chéris le lien que j'ai établi avec Emilie et l'expérience que j'ai reçue au cours de ma dernière année. Le fait de pouvoir mettre en valeur mes compétences et mon professionnalisme dans un environnement réaliste, mais avec relativement peu d'enjeux, a été très précieux pour le développement de mes compétences.
Grâce à l'excellent contact que j'ai eu avec Emilie pendant le semestre, j'ai pu rester en contact, ce que je recommande vivement aux autres étudiant.e.s qui ont la possibilité de réaliser un projet grâce à la plateforme de Riipen. Qui aurait pu savoir que ce qui a commencé par l'échange de quelques courriels se terminerait par une rencontre à l'autre bout du monde. Avance rapide de quatre mois -- j'avais commencé à planifier la remise des diplômes de la SFU, qui impliquait un voyage de célébration en Australie. En tant qu'étudiante ayant compris la valeur des connexions mondiales grâce à ma concentration en commerce international, j'ai repris contact avec Emilie pour l'informer de mes prochains voyages et j'ai exprimé mon intérêt à la rencontrer pendant mon séjour à Sydney. Comme mes jours à la SFU touchaient à leur fin et que je partais en voyage, Emilie et moi avons fixé une date et un lieu pour une rencontre autour d'un café à Sydney à la mi-mai. C'était surréaliste de la rencontrer à nouveau à l'autre bout du monde et c'était incroyable d'apprendre comment se passait l'expansion après que mon groupe ait eu l'occasion de donner son avis sur les facteurs de succès liés à ce déménagement.
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